Les Portes de notre Village :
Depuis des mois et des mois, le large soleil jetait sur les champs des flammes cuisantes, une averse de feu encombrante chauffait ce pays mutilé qui connut des jours meilleurs, malgré sa misère et les guerres qu'il dut supporter. Le soleil, telle un roi qui régentait sur cette vaste étendue de gaz bleu qui constituait le grand ciel, dut s'éclipser un mois pour laisser place à une saison froide, dur et insupportable. L'une des grandes caractéristiques de ce grand pays était le changement climatique absolue, la puissance abyssale de ce climat limitait les sources de vie, les divers possibilités immaculés pour octroyer une vie paisible. Les terres de Suna semé par la plaine et le désert semble de loin de petit bois enfermés dans leurs ceintures de hêtre élancés, sans oublier les fortifications rurales qui enveloppaient le pays d'une cloison plongée dans un bain de pression moléculaire tel un cartel en écaille incrusté de cuivre solide, les remparts était soudés mais le pays n'était point dans la quiétude exhaustif. De près, a l'ouverture des barrières vermoulue, la singularité nous pousse à voir jardin géant, colline imposante et montagne antique, pommiers fleuris et osseux, les vieux troncs noirs, crochu et tordus, aligné de façon pragmatique que baroque, qui fermente ainsi ces environ dévasté par cette invasion de croisade en bataillon, les chantiers couverts par cette graisse animal, visqueuse et nauséabonde, le breuvage du sang qui coule sur la terre, des traits abominables qui peaufinent cette large panoplie dégoutante.