Lieu de résidence du Kazekage
Naturellement hostile et déformé sortant de l'ordinaire, le point de repos de notre Kazekage n'est autre qu'une maison dissimulée sous un décor rare mais représentatif. Destiné a l'exploitation d'une maison simple et réaliste, gardant des simulations avec le thème du désert qui embellit ce village caché parmi les dunes profondes de Suna. Le rez-de-chaussée se compose avant tout d'une première pièce très éclairée par les deux croisées de lampes qui surplombaient ce plafond d'argile solidifié. Un petit salon communiqué à une salle à manger qui est séparée de la cuisine par une cage d'escalier promptement entretenue dont les marches sont en bois et en carreaux mis en couleur mais frotté d'une part. D'une allure enjolivé, ce petit salon riche, meublé de fauteuils et de chaises en étoffe de crin a raie alternativement mates et luisante, au milieu se trouve une table en granit dure cuivré par une fine couche de marbre ancien, décorée d'un simple cabaret en porcelaine blanche ornée de filets d'or bien dessiné avec une certaine finesse remarquable. Cette pièce remarquablement planchéié mais lambrissé a hauteur d'appui était une salle d'accueil qui menait vers un bureau très bien organisé et amplifier d'une certaine panoplie bureautique moderne qui servait au Kazekage de bureau partiel. Une grande cheminé en pierre, dont le foyer toujours demeure toujours gris ce qui atteste d'une bonne mise en œuvre et qu'il ne s'y fait feu que dans les grandes occasions, et ornée de deux vases plein de fleurs sèches avec des cactus d'une taille régulière, vieillies et encagées qui accompagne une pendule en marbre bleuâtre du plus mauvais goûts. Cette pièce exhale une odeur pétillante et admirablement bonne, une odeur sans nom dans la langue qu'il fallait qualifier avant ''d'odeur implicite''. Malgré cette odeur parfumé et peaufiné sous cette thématique alléchante, elle sent le moisi et le renfermé, le rance ce qui donne froid, peut être à cause du manque de vivacité naissante dans cette pièce. La salle adjacente, salle privée du Kage demeure entièrement boisée, fut jadis peinte par une couleur orange indistincte penchant beaucoup plus vers le jaune, un jaune moutard plus exactement, un jaune rarissime qui reste difficile à qualifier et à décrire, mêlant rouge, noir et bleu à la fois. Parfois ternies et échancrées en moirés métallique, l'allure de la pièce semble ordinaire et d'une simplicité totalement faisable, dans un angle, plusieurs assiettes en porcelaines sont entreposées sous forme de pyramide légère et très fragile, qu'un simple bruit ou mouvement indiscret pourrait faire la manigance de tomber cette pile d'objets immaculé par des tâches de poussières ingrates. Le tout amplifié de mobilier vieux mais consistant, montrant a quel niveau arrive la modestie d'un Kage capable de tout !